#et pince-sans-rire
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daltoncity · 2 years ago
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Pa Dalton
Une des rares choses qu'on sait de lui, c'est que c'était un maître du forçage de coffre-fort.
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Mais un très mauvais artificier.
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L'humour de Jack ne s'en est toujours pas remis.
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daily-gaston · 1 month ago
Note
Au regard du dernier gag, je suis d'accord.
Je préfère quand Fantasio est le comique de la situation. Ça fait bizarre de le voir aussi sérieux, voire même pince sans rire, quand on est habitué à le voir comme le "comedic relief" avec Spirou.
Pourquoi un tel changement avec Gaston ?
La réponse évidente, c'est : pour ne pas faire doublon! Ils ne peuvent pas tous les deux être des comic reliefs... Mais j'ai aussi mon avis sur la question (accroche-toi).
Entre sa première apparition et celle de Gaston, on ne peut pas dire que Fantasio n'a pas changé. Gaston rappelle d'ailleurs beaucoup Fantasio à ses débuts, gaffeur comme il est, le pull trop petit et les espadrilles râpées. C'est même expliqué dans les petits textes qui accompagnent les premiers dessins dans le premier album (sauf édition 2018) :
« Qui se souvient du Fantasio des tout débuts ? Le Fantasio hirsute, emporté, l'œil égaré, vêtu d'un peignoir en lambeaux recouvert d'as de pique ? N'est-il pas normal que le Fantasio devenu sage, cravaté, responsable de la rédaction, soit incapable de tolérer des bêtises dont, quinze ans auparavant, c'est lui, Fantasio, qui aurait été le responsable ? »
C'est lui qu'il voit en face! Un jeune Fantasio mal adapté au monde du travail. Fantasio, qui va jusqu'à faire grève plus tard tellement il en a marre d'être vu comme un idiot, soudain mis face à face avec le portrait craché de toutes ses erreurs passées. C'est pour ça que « l'éducation » de Gaston lui tient tant à cœur. Non, je n'invente pas, quand Gaston est renvoyé, il écrit, je cite : « Sous ma patiente direction, il avait fait quelques progrès, mais il m'aurait fallu plusieurs années encore pour parfaire son éducation et remplacer, dans sa pauvre petite tête, les idees saugrenues par un raisonnement acceptable... »
Pour moi, c'est ça la raison de son sérieux au bureau : il veut être un exemple pour Gaston.
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equipe · 1 year ago
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Les crabes à la fête 🦀
Bien le bonjour, amis des crustacés. Le 29 juillet dernier, également connu comme Journée du Crabe, vous avez été particulièrement nombreux à vous rendre sur TumblrMart pour offrir le Tableau de bord crabesque à vos amis. Et, nom d'un petit bonhomme, on peut dire que vous n'avez pas lésiné ! En plus des mèmes incisifs, voire pince-sans-rire, et des billets tendances, vous avez fait grimper prodigieusement les ventes, produisant un coup de boost substantiel pour nous aider à financer les coûts de fonctionnement de Tumblr. C'est peut-être un détail pour vous, mais pour nous, ça veut dire beaucoup !
Nos équipes étaient tellement excitées qu'elles se sont ruées sur leurs palettes graphiques pour réaliser de magnifiques Coches crabesques. La peinture était encore fraîche, mais ces dernières ont quand même pu remplacer pour un temps les traditionnelles Coches de la renommée en ce jour si spécial. Dès le 1ᵉʳ août, ces nouvelles coches ont fait leur apparition sur TumblrMart : en version classique (mais efficace), ou en version arc-en-ciel pour ravir tous vos amis ou vous faire un petit plaisir.
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La Journée du Crabe en quelques chiffres :
Vous avez offert plus de 8 000 Tableaux de bord crabesque ce jour-là. C'est tout simplement une augmentation de 20 000 % des ventes quotidiennes de cet article.
Les ventes totales sur TumblrMart ont aussi augmenté de 7 000 %.
Comme évoqué plus haut, cet argent sert à payer les coûts de gestion de Tumblr (environ 1 mois des coûts énergétiques des serveurs de l'application cette fois-ci). La générosité dont vous avez fait preuve envers vos amis a aussi été le moteur du bon fonctionnement de Tumblr. Tous les crabes se joignent à nous pour vous dire MERCI !!!
🦀 💖
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sous-le-saule · 1 year ago
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Oui mon capitaine
(Le musicien fantôme, épisode 2 – parce que pourquoi pas…)
Remis de ma surprise, je me dirige vers la table de l’homme au tricorne et m’apprête à m’asseoir sur un tabouret grossier quand il m’arrête d’un geste. Jetant un regard suspicieux aux buveurs, il m’entraine vers une espèce d’alcôve dans un coin de la salle.
Le tenancier nous apporte à chacun un demi d’une bière à la couleur douteuse, que je me garde bien de toucher.
- Je suis Giacomo Tremonti, dis-je en tendant la main au marin par-dessus la table. Vous avez sans doute entendu parler de moi.
- Non, fait-il platement, soulevant sa chope et ne faisant aucun cas de ma main tendue, que je finis par ramener dans mon giron.
Je ne sais pas vraiment si j’espérais que ma réputation de compositeur m’ait précédé dans un tel endroit, ce qui ne m’empêche pas de me sentir vaguement froissé.
De la manche, il s’essuie les lèvres avant de croiser les bras sur la table.
- Alors, de quelle somme parle-t-on ?
Droit au but, donc.
- Eh bien… je me disais que 200 pièces d’or –
- Nouvelles ou anciennes ?
- Anciennes, naturellement.
- 300.
Je m’attendais à du marchandage, aussi je lui propose la somme que je me suis réellement fixée.
- 250 ?
Il a un fin sourire de renard, comme s’il avait su dès le départ que je monterais sans discuter jusque là.
- Tope là.
Cette fois, il me tend la main, et serre la mienne avec force, souriant à ma grimace de douleur.
Tout ce que je fais ou dis semble amuser cet homme, et je ne me suis jamais de ma vie autant senti en dehors de mon élément.
- Ne devrait-on pas signer un contrat ou à tout le moins établir quelque document pour-
- C’est ce qu’on vient de faire.
- Oh. Euh. Bien.
- J’aurai besoin des pièces au plus tôt. Pour l’avitaillement. Ce genre de choses. Demain, ce serait bien. On peut embarquer dans trois jours.
- Ah. Certes. Je vous ferai apporter cela. Où dois-je -
- Non !
Cet homme a la fâcheuse habitude de me couper la parole et cela commence à m’agacer. Il prend un air dramatique, ferme les yeux et se pince l’arête du nez.
- Non, non, non. Bon sang ! Je voulais vérifier si vous étiez aussi naïf que vous en avez l’air. Si vous payez l’entièreté de la somme avant l’embarquement, j’appareille dans l’heure et vous ne reverrez jamais votre or. Réfléchissez un peu.
Malgré toute ma volonté de mener cette négociation à bien, je ne peux m’empêcher de prendre un air hautain et vexé.
- Excusez-moi d’ignorer les usages en vigueur. Je pensais que l’honneur des pi- je veux dire, des marins, garantissait –
Cela le fait hurler de rire. C'en est assez. Jamais je n’ai été traité de la sorte. Cette fois, c’est décidé, je m’en vais. Il y a bien un autre repaire de ce genre où je trouverai un équipage.
Il fait un geste conciliant, qui doit sans doute avoir valeur à ses yeux d’excuses en bonne et due forme.
- Restez, dit-il en s’essuyant les yeux. Vous trouverez personne d’autre qui s’engagera dans une folie pareille.
Je me rassieds à contre-cœur.
- Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi vous, vous acceptez. Et ne me dites pas que c’est pour l’argent, vous venez de me mettre en garde alors que vous auriez pu me dépouiller.
Il plonge ses yeux sombres dans les miens, soudain sérieux.
- Je m’ennuie, et vous êtes distrayant.
Je ne suis pas bien certain que ce soit un compliment.
- Soit. Que disons-nous, alors ? La moitié de la somme avant l’embarquement, et le reste à la réussite de la mission ?
- Normalement, on précise aussi que je dois vous ramener au port d’embarquement. Vivant.
Je m’étrangle.
- Je pensais que ça allait de soi !
- Tsk.
- L’affaire est donc conclue, monsieur… ?
- Capitaine. Esteban Álvarez. Quoi ? Vous vous attendiez à « Barbe Noire le sanguinaire » ?
Je me sens rougir.
- De toute façon, reprend-il, à bord vous ferez comme tout le monde et vous me donnerez du « capitaine ». C’est clair ?
C’est à ce moment-là que le plaisant concept de ce voyage prend une forme concrète dans mon esprit. Je vais passer plusieurs semaines en mer avec cet individu pour le moins désarçonnant et ses hommes qui me jetteront peut-être par-dessus bord à la première occasion. Je déglutis. Dans quoi me suis-je embarqué ? Je pourrais encore changer d’avis. Mais je veux percer le mystère du Musicien fantôme. Et, pour une fois, vivre une aventure. Car je me l’avoue enfin : moi aussi, je m’ennuie.
Hochant la tête, je fais de mon mieux pour insuffler de l’assurance à ma voix.
- Oui, mon capitaine.
Le temps d’un battement de paupières, il a l’air troublé. Puis il détourne le regard en grommelant :
- « Oui, capitaine » suffira. Vous n’êtes pas sous mes ordres.
Ha ! Pour une fois, c’est moi qui l’ai déstabilisé. Je prends note de sa réaction avec un certain intérêt. Ce voyage s’annonce, en effet, distrayant.
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swedesinstockholm · 1 year ago
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31 août
je suis tellement habituée à écrire à r. le soir au lit que ça me fait bizarre quand je me couche sans mon téléphone. ça fait une semaine que je dois répondre à n. pour notre éventuelle coloc à berlin, une semaine que j'ai une amie à BERLIN qui attend que je lui réponde pour qu'on se mette à chercher un appart ensemble et je lui ai toujours pas répondu. je sais pas si c'est parce que je suis terrifiée par l'aspect concret de la chose ou si c'est parce qu'au fond je préfèrerais aller vivre à bruxelles. j'ai rejoint un groupe fb de locations et de colocs et c'est l'enfer mais c'est là que mon coeur m'appelle. et c'est pas à cause de r. mais il me donne envie de me réveiller pouvoir être sur un pied d'égalité avec lui. même si lui non plus n'a pas de job alimentaire, mais au moins il vit pas chez sa mère. oh ça rime. j'ai envie de lui raconter toute ma vie, enfin La Situation et tout ça, parce que hier quand je lui ai dit que j'étais cassée parce que j'arrivais plus à écrire il m'a hurlé une version hystérique de cassé de nolwenn leroy qui m'a fait mourir de rire et puis il m'a rassurée il m'a donné des conseils et il m'a demandé à quel point j'étais angoissée etc et QUI dans ma vie prend soin de moi comme ça?
hier je discutais avec ru. et je lui ai raconté mes projets avec r. et elle disait que j'avais toutes mes chances de faire évoluer la situation avec tout le temps qu'on allait passer ensemble à travailler, so many chances! j'avais l'impression qu'elle jouait le rôle de mon enabler alors que j'essaie de me sortir de mon addiction. non ru.! non! j'ai du contrôler très fort mes illusions lundi soir aussi quand c. t. la dramaturge m'a écrit pour me demander ce que je faisais en ce moment et si j'avais un full time job, sans préciser pourquoi elle me demandait ça. pourquoi tout le monde a décidé de me mettre à l'épreuve comme ça? comment je suis sensée ne pas m'imaginer qu'elle veut travailler avec moi? elle m'a toujours pas répondu et le suspense me tue. mais peut être qu'elle me répondra jamais et qu'elle cherchait juste des témoignages de loseuses de la vie qui travaillent pas pour une pièce de théâtre documentaire ou je sais pas quoi, comment savoir?
2 septembre
j'ai envoyé mon poème à la revue affixe ce soir à minuit 24 heures avant la deadline, même s'il est pas publié c'est pas très grave parce que ça m'a fait du bien de me remettre sérieusement à la poésie, ça change de mes jérémiades du journal, même si j'y raconte à peu près la même chose. il s'appelle marrons glacés et c'est archi cryptique mais tout ce que j'y dis c'est que je fais rien de ma vie je veux pas travailler je suis coincée je suis bisexuelle je suis amoureuse je suis en feu je me masturbe. y a pas vraiment de fin. en écrivant "trois perles ambrées me coulent entre les cuisses" ça m'a excitée et je me suis masturbée sur mon lit avec mon poème à côté de moi. voilà à quoi me sert la poésie. ma nouvelle façon préférée de dire que je suis bi: délicat délicate - les deux me vont. ma nouvelle façon préférée de dire que je veux qu'on me fasse l'amour: déglacez-moi comme un marron.
4 septembre
premier jour de mer je me suis réveillée avec mon oeil plus gonflé que jamais après une nuit de bave et de larmes et de sinus qui pousse, je me suis levée et j'ai mis un sweat noir par dessus ma chemise de nuit ancestrale en coton épais, relevé mes cheveux en chignon avec une pince et mis mes lunettes de soleil pour aller déjeuner chez c. et quand je suis arrivée sur la terrasse elles ont dit quelle élégance! on dirait audrey hepburn! et c'était pas vrai mais j'étais contente de mon exploit d'être passée de monstrueuse à audrey hepburn.
je reste éloignée d'internet et de mon téléphone sauf pour écrire à r., cet après-midi j'ai écrit plein de petits poèmes avec tous les mots que j'ai notés dans mon carnet en écoutant france inter dans la voiture hier (pas de temps morts dans les transports) et après deux heures et demi d'écriture je suis partie à la plage me baigner dans les vagues, ce que je peux pas faire à la maison. j'ai marché pendant un moment avec l'eau à mi-cuisses pour drainer ma cellulite comme si je venais de lire un article de elle qui me dit comment optimiser mes vacances à la plage pour avoir un hot bod. j'en peux plus de mes grosses cuisses boursouflées et de ma petite taille qui contraste avec mes hanches larges et de mes seins qui pendent et qui menacent à chaque instant de s'échapper de mon maillot. tellement plus que ce matin à la caisse de hyper u quand j'ai voulu rejoindre maman dans la file et qu'un chariot me bloquait le passage et qu'un vieux m'a dit vous êtes mince mais là vous ne passerez pas! j'étais contente parce qu'il a jugé que j'étais mince. voilà.
en sortant de l'eau j'ai lu le livre de léa rivière qui parlait de la rivière justement, comment elle devenait la rivière quand elle était dedans, qu'elle apprenait de la rivière en lui faisant confiance, en immergeant son corps, en étant-avec elle (donna h.), en écoutant comme elle, dans son vacarme, c'était la lecture parfaite de post baignade dans la mer. elle dit plein de choses que je dis dans mon scénario. j'ai fait une pause dans ma lecture pour y réfléchir. est-ce qu'on dit les mêmes choses parce qu'on a lu les mêmes livres ou parce qu'on ressent vraiment les mêmes choses quand on est dans l'eau/dans la nature en général? j'ai lu jusqu'à sept heures et je suis rentrée je me suis douchée et j'ai mangé du pain avec du fromage toute seule avec un soupir de satisfaction.
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girafeduvexin · 2 years ago
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Le truc le plus kiffant avec la voix de Goldman, c'est que d'un côté on a des paroles relativement profondes, un mec assez sérieux, pince sans rire, discret, assez calme, capable de parler de rugby, de sociologie et de Gibson.
Et de l'autre côté, on a. Une voix vraiment haut perchée. Et qui va vraiment haut, trop parfois, quand c'est pas juste un cri, vraiment la voix aiguë dans toute sa splendeur. Le décalage est d é l i c i e u x. Le calme (pour ne pas dire le silence), les sourires en coin et les "AAAAAAAaaaaaAAaaAaaAAAAAAAAAAAAAAH" de l'autre.
Et le plus extraordinaire dans tout ça, c'est la différence entre les albums et les concerts, parce que clairement fin 80, ça commence à le soûler cette voix (et il déclare même qu'il a toujours rêvé d'une voix grave :') ) donc il baiiiisse, c'est beaucoup plus doux, limite parlé-chanté sur certaines chansons. Mais sur scène, même si c'est plus rare sur les deux dernières tournées, il HURLE toujours et qu'est-ce c'est fun.
Genre ça vers 4:40
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Ou cette version d'"Au bout de mes rêves" en 1998, vers 2:30 et jusqu'à la fin.
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Et même aux Enfoirés où il CHOISIT de se donner à chanter des morceaux qui vont tirer sur sa voix, par exemple cette SUBLIME REPRISE de "Gimme! Gimme! Gimme!" à 2:50 (pitié écoutez ça, si vous voulez vous tapez une barre, j'ai découvert cette reprise il y a deux jours, je suis K.O).
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lesparaversdemillina · 2 years ago
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mmepastel · 1 year ago
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J’ai fini hier soir ce roman très addictif et réussi publié cette rentrée chez Gallmeister.
Je me suis vraiment régalée avec ce récit gothique d’une étrange malédiction. Dans la famille Chapel, lorsque les femmes enfantent, elles meurent ou bien lorsqu’elles consomment leur mariage, elles meurent. Avouez que c’est atrocement diabolique et assez handicapant.
La famille semble possédée. A commencer par la mère, hantée par des fantômes la nuit ; le père est un taiseux inintéressant. Les six filles sont le cœur du roman. Elles sont toutes nommées à partir de fleurs, dont raffole Belinda, la mère, plus portée sur la botanique que sur la maternité heureuse. Une première union se profile pour Aster, l’aînée, et tout bascule.
L’histoire est racontée depuis la « presque plus jeune », Iris. L’histoire est abracadabrantesque pourrait-on dire, mais elle est rendue délicieusement horrifique par l’écriture, juste et un peu pince sans rire, et une ambiance surannée : ça commence dans les années 50, dans le faste d’une demeure riche (argent salement gagné, le père est vendeur d’armes), une demeure présentée comme une pièce montée blanche et victorienne, qui s’apparente à un gâteau de mariage. Cocon d’abord, puis bonbonnière étouffante.
Le sujet sous-jacent est évidemment la toxicité masculine (les armes, la virilité dangereuse des hommes, leur mépris des propos de bonne femme). Iris va parcourir un trajet douloureux, émaillé de deuils, pour parvenir à s’émanciper, en faisant beaucoup de sacrifices. Honnêtement, je n’ai pas trouvé la thèse très bien défendue, mais je me suis régalée à lire l’histoire de ces six sœurs, attachantes et émouvantes. Quelque chose vous happe, et vous avez du mal à lâcher le livre quand bien même les morts sont pour ainsi dire annoncées. Il y a une dimension de conte, voire de comptine, qui rend le récit entraînant, envoûtant. Un halo de mystère en même temps qu’une profondeur psychologique non négligeable.
Roman étrange, trop charmant pour être vraiment dérangeant, mais qui ensorcelle à merveille.
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lalignedujour · 1 year ago
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"Ça par exemple, c'est débilo-dangereux". Et on a ri. Il a dit ça alors qu'on croisait un type en train de marcher tout seul sur le bord de la Nationale. Y avait pas de trottoir, et il marchait pas dans le talus, il marchait carrément sur le bord de la route. Il devait y avoir 40 centimètres entre la glissière de sécurité et la chaussée, et lui il marchait dessus tranquille.
Moi j'avais pas d'avis sur lui. En fait, je l'avais même pas remarqué. J'ai un tempérament à pas facilement être choquée par les choses inhabituelles. C'est un vrai truc. J'ai fait un test à la fac. La prof nous a montré une vidéo où il fallait déceler des anomalies, bah moi j'ai rien trouvé. Bref, il aurait pu y avoir un kangourou sur la Nationale, j'aurais pas tout. de suite remarqué.
C'est un problème d'ailleurs, ça, de manquer d'intuition sur les trucs "qui vont pas", surtout quand on fait du stop. Là, le type me paraîssait tout à fait ok, comme en fait toutes les personnes qui m'ont prise en stop depuis deux ans.
J'ai quand même appris à repérer les gens aux radios qu'ils écoutent. Y en avait un une fois qui écoutait carrément les podcasts d'arte radio, comme ça, sans thème, dans le désordre. Genre y avait un podcast féministe, puis le récit d'un ancien gangster, un truc sur l'origine des mots, et jusqu'à des histoires de rue à Marseille. Des anecdotes toutes nulles, mais avec l'accent marseillais, ça rend tout épique ! Ça faisait genre "tu vois, je commande un kebab, à Belsunce, tu connais le quartier, bon, je commande un kebab sans oignon, je dis bien sans oignon, j'aime pas ça moi les oignons, je les digère pas, ça me… bon, sans oignon. Très bien, le type prépare le kebab, il me demande quatre euros, bon j'étais minot hé les kebabs à quatre euros, c'était à l'époque hein. Je paye le kebab, je sors, je croque dedans, crac y a des oignons." Ou alors l'histoire d'un gars qui a un rendez-vous le bon coin pour acheter un vélo. Un vélo jaune. Il avait rendez-vous en plein centre. Et là y a un type balafré qui se pointe sans vélo mais avec une pince Monseigneur et une bombe de peinture jaune, il fait : -c'est toi pour le vélo ? -oui, c'est moi, mais. -ça fait 100 balles. -d'accord, mais oh il est où le vélo ?! Et il répond juste : -il est où tu veux le vélo, tu veux lequel ? Je pense qu'elles étaient pas toujours vraies ces histoires. Elles sont trop nulles pour être vraies, même si je suis pas la bonne personne pour déceler les mythos. Je sais pas trop juger, de toute façon, tout me paraît ordinaire (ou tout extraordinaire, ça dépend comment je vois les choses).
Et donc celui de ce matin, je l'ai aussi jugé à sa radio. C'était une radio de droite avec des émissions de débat de merde genre à caser des mots-valise du gouvernement comme "islamo-gauchiste", "éco-fasciste" ou "éco-terroriste" en mode premier degré.
Et c'est là qu'il a dit "débilo-dangereux". Ça m'a fait rire de soulagement, lui aussi, et il a changé de station. C'était une voiture de location, et il a aéré parce que ça puait à fond le réac là-dedans.
L'ambiance de la voiture a changé dès qu'on l'a croisé.
J'ai connu Jed.
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vulnerablequeen · 2 months ago
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Louis (partie 2)
On s’attable au fond du bar. Intime. Il n’y a pas beaucoup de monde dans le resto, étonnement. Des lumières tamisées et une toute petite chandelle nous éclairent. Ce décor charnel n’aide pas du tout mes pulsions. 
Il est charmant. Très charmant. Il a une douceur dans sa gestuelle, un regard animé, des propos qui font pleinement du sens. Il est mon genre. Ok, cette date me plaît. 
Les conversations coulent aussi bien que le vin blanc sec minéral pas trop fruité qu’on s’est commandé. C’est ce que je dis pour flasher le peu de connaissances en vin que j’ai. Des connaissances de fille basic, mais des connaissances pareil. J’ai envie de l’impressionner. Parce qu’il m’impressionne déjà par sa diction irréprochable et son humour pince sans rire. 
Oh god, suis-je dans’ marde? 
Je reviens dans ma tête quelques instants. Qu’est-ce que la blonde fait? Est-ce qu’elle l’attend? Est-ce qu’elle sait? Elle a l’air de quoi? Comment elle prend ça? J’espère qu’elle est OK. Je me pose trop de questions, et pas assez à Louis. Je crève l’abcès. 
« Fait que… c’est quoi ton deal, mettons? » 
Voyons, est-ce que j’essaie de m’acheter un char? J’ai pas trouvé de meilleure formulation? Je l’ai fait avec un air coquin, je sens que ça va passer comme dans du beurre. Il me raconte que ça fait 14 ans qu’il est avec sa copine. 
Quatorze ans. Pardon. 
Lui et moi avons le même âge donc, j’en déduis que… « Ça fait depuis le secondaire qu’on est ensemble. », m’annonce-t-il, avec un sourire en coin. Aw. Il l’aime, sa blonde. Je le vois. 
Pas le choix de me comparer, moi et mes quinze situationships de huit mois. Quatorze ans, c’est de l’engagement, mes ami·es. C’est connaître une personne de fond en comble et être encore comblé. Je trouve ça beau. Je suis émue. Et moi je veux intervenir là-dedans? 
Il renchérit en m’expliquant que ça fait cinq ans qu’ils sont en couple ouvert. 
AH! Que Dieu soit loué au Club Vidéotron. Il est rodé. Il sait comment ça marche, l’ouverture. Y’est pas en train d’essayer quelque chose et que je sois le pilot à ce début d’aventures en série. Les épisodes pilot, c’est jamais bon. 
Je lâche un « intéressant! » bien senti, je suis soulagée. C’est très intéressant, tout ça, effectivement. On décide de lâcher les buvettes qui ferment trop tôt, pour se diriger dans un bar pas trop loin de chez moi. J’aime comment il pense. Il pense bien. 
On est dans son auto, j’ai toujours mon casque attaché à ma sacoche. La prudence, je m’y connais. Mais ce soir, je n’ai pas le goût de me mettre trop de limites. Tout coule de source. Ce serait dommage de gaspiller quelque chose d’aussi potable. 
On s’arrête au Bily Kun, encore avec un éclairage tamisé. Ça commence à me travailler les hormones. Il est beau. Je suis tipsy, mais très lucide. J’arrive à le faire rire avec ma gestuelle et peut-être mes grands yeux bleus. C’est un attrait qui se passe de génération en génération dans ma famille. Ce soir, je sens qu’il me sert particulièrement. 
On s’assoit un à côté de l’autre. J’aime cette proximité. Je sens que tout est possible. 
Un moment de silence traverse notre conversation. On se regarde encore. On se déshabille du regard. C’est à ce moment que je pense: « osti, je ne me suis pas rasée. » Panique. J’ai le goût de lui. J’ai le goût de sa tendresse partout sur mon corps. Surtout à l’endroit où j’ai complètement oublié de me trimer. Erreur de débutante. Quelle erreur de débutante. 
Avant qu’on se rende là, faut ben qu’on atteigne la première étape (ma préférée). 
Je demande timidement ce qu’il pense de notre date jusqu’à présent. Habile, je sais. 
« Ça se passe bien, non? », me susurre-t-il à l’oreillette. Je frissonne. Oui, mon beau Louis, ça se passe très bien. Je lui réponds que c’est réciproque. Sa main élit domicile sur ma cuisse droite. Sa main gauche, elle, caresse doucement ma joue. Il sait comment utiliser ses mains. 
Nos visages se collent, nos yeux se ferment. Il m’embrasse, doucement. Et en toute réciprocité, je l’embrasse en retour. Il embrasse bien; tout en lenteur, mais avec une vigueur qui me chatouille le bas ventre. Ma main gauche empoigne son cou, je veux le dévorer. Les langues sont déliées et nos échanges sont, pour le moins, constructifs. 
Je me fous du décor, je me fous de nos verres à peine bus. Je le veux. Je descends ma main sur sa poitrine, son cœur bat fort. Je n’ose pas descendre plus bas, du moins, pas pour l’instant. On se parle dans une langue de passion en vivant le tout à la même intensité. Je regrette sincèrement de ne pas m’être rasée. 
On se fait kick out du bar. Pas parce qu’on est explicite, mais parce qu’il est maintenant 3 heures du matin. Je n’ai pas vu le temps passer, j’ai tout savouré. Tout savourer, en ayant oublié que j’avais envie de pipi. Je décide de me retenir. Je ne veux pas briser le momentum. 
Louis décide de laisser son char là. Sage décision. On baigne dans l’ivresse, avec mon casque toujours bien accroché à ma sacoche. On choisi de se rapprocher de chez moi à la marche. Il me dit que ce ne sera pas trop loin de chez lui par la suite, vu qu’il ne peut pas découcher. 
AH! Soupir de soulagement de la part de ma forêt boréale din’ culottes. Y'est en couple. C'est vrai. Il a des responsabilités. J’adore les limites qu’on s’impose en ce moment. 
On marche. On french. On marche en frenchant. On marche. Il commence à pleuvoir. On se french encore plus intensément. Je suis détrempée de tous les bords, tous les côtés, en haut comme en bas. Il m’accote sur le mur d’une maison de millionnaire sur le Plateau, j’ai déjà une mini jouissance en y pensant. Les rues sont vides, mais je connais quelqu’un qui ne l’est pas. 
On est rendu coin Rachel/Marquette et la pluie s’intensifie. Je me dis que mon maquillage doit couler, j’essaie de trouver refuge quelque part. Bingo: une cabine téléphonique n’est pas trop loin. 
Sous la faible lumière du lampadaire, on continue à s'entrelacer de tous nos membres, on veut fusionner d’envie. 
Il détache mon pantalon. Il glisse sa main rafraîchie par la pluie dans ma culotte. Ses mouvements de va-et-vient m’excitent à un autre niveau. Je me sens devenir faible dans les jambes, il fait (trop) bien ça. Je l’arrête. Je le retourne contre le mur de la pauvre cabine et insère ma main dans ses jeans. Fuck le chandail bien rentré. Je prends son sexe et, disons, je m’amuse avec. L’espace est limité, ça serait mieux si on était dans un lit, nus. On va faire avec ce qu’on a pour le moment. Il me demande d’arrêter. La tension est à son apogée. On se veut terriblement. Partout. 
On s’embrasse langoureusement, comme pour se remercier l’un l’autre. 
« Je dois y aller, il est très, très tard. » Il devait être autour de 4h30 du matin. C’est légitime. « Mais c’était très, très le fun. », a-t-il ramené, habilement. J’acquiesce. On le sait qu’on va se revoir. 
Je vais le porter jusqu’à un taxi qui passait sur Papineau. On se donne un bec synonyme « d’à bientôt ». J’ai hâte. 
Je marche vers chez moi, il me reste peut-être dix minutes de marche à faire. Misère. Avec toute cette excitation, j’ai cruellement envie de pipi. Au point où j’ai de la difficulté à me retenir. 
Shit. 
Je me fais pipi dessus. En toute élégance. Sous la pluie battante. Mes pantalons étaient déjà détrempés, au moins. Ouin? C’est pas comme ça que j’aurais imaginé finir une date directement sortie d’un film de DreamWorks. 
Je reçois un message. C’est Louis. 
« Ah, tiens, j’ai oublié de te montrer ça. », m’écrit-il.
C’est une photo de moi en bixi avec mon casque sur ma couette.
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dixvinsblog · 8 months ago
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Les blagues de Sale Gosse 
“Flic : pince sans rire.” Guy-Guy Bouzoune Un locataire décide de refaire son appartement. Il commence à prendre les mesures pour savoir combien de rouleaux de papier-peint acheter, mais il s’y perd. Et tout à coup, il se souvient que son voisin du dessus, qui a exactement le même appartement, a refait le sien trois mois plus tôt. Il monte le voir et lui demande :– Combien de rouleaux de dix…
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feathery-dreamer · 10 months ago
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Calligrammes (dessin avec des mots) et sketches dessinés lors de l'atelier artistique du centre de psychologie. La transcription des calligrammes suit. [lien DA] Le "FRICKED" est une vieille mème que j'avais en tête de dessiner depuis des mois. [lien DA] Les yeux du chat sont très différents, j'ai toujours eu des difficultés avec la symétrie. Je crois que j'étais aussi embrouillé par le motif noir cachant le contour à gauche. [lien DA]
Calligrams (drawing with words) and sketches drawn during the therapy center's art workshop. The calligrams' transcription follows. The "FRICKED" is an old meme I'd been thinking of drawing for months. The cat's eyes turned out very uneven, I always struggle with symmetry. Think I was thrown off by that black pattern concealing the outline to the left, too.
*ahem*
premier thème: AMOUR BRISE Ma Déméter Aux mèches blondes Yeux bleus Lèvres pulpeuses Cou bref Epaules qui retombent mais Du marbre dans l'âme Glacée dans le coeur. ~~~~~~
first theme: BROKEN LOVE (heartbreak) My Demeter With blonde locks Blue eyes Pulpy lips Brief neck Drooping shoulders but Marble in the soul Icy in the heart. ------
second thème: ANIMAL - scorpion Corps galbé en segments Pattes délicates (d'ici je vais aller vers l'avant puis l'arrière) Tête discrète Pinces sans rire Pour bien tenir Gracieuse queue à venin ~~~~~~
second theme: ANIMAL - scorpion Bulby body with segments Delicate legs (from here I’ll go forward then backward) Discreet head Serious pincers (this is a pun, “pinch-without-laughing” means using humor whilst staying deadpan) To hold well Gracious tail with venom ------
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christophe76460 · 1 year ago
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RÉVÉLATION DIVINE DE L'ENFER, Par Marie Baxter
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18. VISIONS OUVERTES DE L'ENFER
Le Seigneur dit :<< Cette vision est pour l'avenir et elle arrivera surement, Mais Je reviendrai pour racheter Ma Nouvelle Mariée, Mon Église et ils ne verront pas mon arrivée. Réveillez Vous, Oh Mon Peuple Je sonne l'alarme aux coins de la terre, Car Je reviendrai comme Ma Parole l'a dite>> Je vis le serpent ardent qui était dans le bras droit de L'enfer, Jésus dit :<< Viens voir ce que L'esprit dit au monde.>> Je vis les cornes du serpent ardent entrer dans les corps des gens sur la terre.
Beaucoup furent possédés complètement par le serpent. Comme je regardai, je vis une énorme bête surgir d'un grand endroit et se transformer en un homme. Les habitants de la terre fuyaient loin de lui, certains dans le désert, certains dans les grottes et certains dans les stations de métro et les abris de tombe. Ils cherchaient n'importe quel abri pour se cacher aux yeux de la bête. Personne ne louait Dieu ou ne parlait de Jésus. Une voix me dit, << OÙ ES MON PEUPLE>> Je regardai de plus près et vis des gens comme les hommes mort-vivant. Il y avait une tristesse désespéré dans l'air et Personne ne se tournait ni vers la droite ou vers la gauche. Je vis que les gens étaient dirigés par certaines force invisibles.
Parfois une voix venant de l'air leur parlait et ils obéissaient à la voix. Ils ne se parlaient pas l'un à l'autre. Je vis aussi que le nombre << 666 >> était écrit sur le front de chacun et sur leur mains. Je vis des soldats sur les chevaux rassemblant les gens comme s'ils étaient le bétail. Le drapeau américain, en loques et déchirés,se trouve sans espoir sur la terre. Il n'y avait aucune Joie, aucun rire, aucun bonheur. Je vis la mort et le mal partout. Les gens marchaient les uns derrière les autres dans un grand magasin. Ils traînaient le pas comme des soldats découragés et étaient habillés de façon identique dans un type d'habit de prison. Une clôture entourait le magasin et les gardes étaient postées ici et là. Partout ou Je regardais, Je ne voyais que des soldats dans leurs uniformes de combat. Je vis que ces gens qui ressemblaient aux zombies étaient conduit dans le magasin, où ils pouvaient seulement acheter le strict nécessaire. Aussitôt que chacun avait terminer ses achats, ils étaient placé à bord d'un grand camion militaire vert. Le camion, bien gardé, était alors conduit dans un autre endroit. Ici, dans un genre de clinique, ces gens étaient examinés pour le dépistage de maladies transmissibles ou des handicapés estropiant. Un petit nombre d'entre eux étaient déplacé dans un coin comme des rejettes. Ceux-là qui avaient échoué l'examen étaient pris dans une autre pièce.
Dans cette pièce, une matrice impressionnante d'interrupteurs, de boutons et des Jauges longeaient un mur entier. Une porte s'ouvrit et plusieurs techniciens entrèrent. L'un d'eux commença à appeler les noms des gens dans la pièce. Sans aucune opposition, ils se levèrent quand leurs noms étaient appelés et ils se dirigeaient dans une grande boîte. Quand ils étaient à l'intérieur, un autre technicien fermait la porte et tirait un interrupteur sur le panel qui était sur le mur. Quelques minutes plus tard il ouvrait la porte, prenait un balai et balayait ce qui restait de ces gens du sol. Rien de plus qu'un peu de poussière restait de ce qui fut une fois une pince pleine de personnes ! Je vis ces gens qui avaient passé l'examen médical être remis dans le même camion et conduit à un train. Personne n'avait parlé ou même tourné la tête pour regarder une autre personne. À un bâtiment, chaque personne avait été allouée un emploi. Eux tous allaient travailler sans aucune dispute. Je lès regardais travailler très dur à leurs tâches, et à la fin de la journée ils étaient conduit à un appartement entouré d'une haute clôture. Alors, chacun se déshabillait et allait au lit.
Demain ils travailleraient encore dur. J'entendis une grande voix remplir l'air nocturne. Je vis une bête énorme qui s'assit sur un grand trône. Tous le monde obéissait à la bête. Je vis des cornes Spirituelles grandissant de sa tête. Elles grandirent Jusqu'à arriver sur chaque endroit de la terre. La bête se donna plusieurs positions d'autorité et plusieurs fonctions et il devint puissamment grand. La bête s'éleva dans plusieurs endroits et trompa beaucoup de personnes. Les riches et les célébrités avaient aussi été bien trompés comme les pauvres et privés du droit électoral. Petit et grand payaient hommage à la bête. Une grande machine avait été amenée dans un bureau. La bête mis sa marque sur la machine et sa voix sortait de cette machine. Il y avait aussi un << Grand frère >> machine qui pouvait voir dans les maisons et les entreprises. Une seule machine de ce genre existait et elle appartenait à la bête. La partie de la machine qui se trouvait dans les maisons des gens était invisible à l'œil nu, mais elle pouvait Vraiment informer la bête de chaque mouvement effectué par ces gens. Lorsque la bête tourna son trône dans l'autre sens, faisant face à moi, sur son front était inscrit le numéro 666, Je regardai encore et cette fois ci, Je vis qu'un autre homme dans un autre bureau devient très furieux contre la bête. Il demanda à parler avec lui, il hurlait à haute voix. La bête apparu et semblait très courtois Lorsqu'il dit:<< Viens, Je peux vous aider à vous occuper de tous vos problèmes.>> La bête pris l'homme fâché dans une grande pièce et lui fit signe de se coucher sur une table. La pièce et la table m'ont rappelé une pièce d'urgence d'hôpital. L'homme fut anesthésié et poussé au dessous d'une machine vaste. La bête attacha des fils à la tête de l'homme et alluma la machine. Sur le sommet de la machine étaient inscrit les mots << Cette gomme de l'esprit appartient à la bête, 666. >>
Quand l'homme fut enlevé de la table, ses yeux avaient un regard vacant et ses mouvements me rappelaient ceux d'un zombie dans un film. Je vis un grand endroit blanc sur le sommet de sa tête et Je su que son esprit avait été de manière chirurgicale changé afin qu'il puisse être contrôlé par la bête. La bête lui dit :<< Maintenant, monsieur, ne vous sentez vous pas mieux, ne vous avais-je pas dit que Je pourrais m'occuper de tous vos problèmes, Je vous ai donné un nouvel esprit, vous n'aurez aucune inquiétude ou problèmes maintenant.>> L'homme ne broncha pas. << Vous obeirez à chacun de mes ordres >> dit la bête, comme il ramassai un petit objet qu'il attacha à la blouse de l'homme. Il parla de nouveau à l'homme et il répondu Sans déplacer ses lèvres. Il bougea comme un mort vivant. La bête dit:<< Vous travaillerez et ne deviendrez pas furieux ou énervé, vous ne crierez non plus ou ne serez tristes. Vous travaillerez pour moi Jusqu'à ce que vous mouriez, J'ai beaucoup comme vous que je contrôle. Certains mentent, certains tuent, certains vol, certains font la guerre, certains ont des enfants, quelques-uns diriges des machines et certains font d'autres choses. Oui, je contrôle Tout.>> Un rire diabolique est sortit de lui. L'homme fut donné des papiers pour signer. Il donna avec Joie toutes ses affaires à la bête. Dans ma vision Je vis l'homme quitter le bureau de la bête, arriver dans une voiture et aller à la maison. Quand il approcha de sa femme, elle essaya de l'embrasser, mais il ne fit aucun geste pour répondre. Il n'avait aucun sentiment pour sa femme ou pour qui que ce soit. La bête l'avait rendu incapable de ressentir aucune émotion. Sa femme devint très furieuse et cria à son mari, mais sans aucun résultat. Finalement elle dit :<< Bien, J'appellerai la bête, il saura quoi faire.>> Après un coup de fil, elle quitta la maison et conduisit au même bâtiment que son mari venait de quitter. La bête l'accueillit à l'intérieur et dit:<< Racontez moi tous vos problèmes. Je suis sûr que Je peux vous aider.>> Un homme très élégant la pris par le bras et l'amena à la même table sur laquelle son mari avait été allongé plus tôt. Après la même opération, elle aussi devint un esclave dépersonnalisé de la bête. J'entendis la bête lui demander,<< Comment vous sentez vous,>> Elle répondit qu'âpres qu'il ait attaché un petit objet à son chemisier. Alors elle admit qu'il était le maître et le seigneur et commença à l'adorer. La bête dit :<< Vous serez un éleveur, Vous aurez des bébés parfaits et ils m'adoreront et me serviront.>> La femme répondu dans une voix robotisée :<< Oui, maître, J'obeirai.>> Je vis encore la femme, cette fois ci elle était dans un autre bâtiment. Il y avait beaucoup de femmes enceintes là. Les femmes étaient couchées inanimées sur leurs lits et dans de tons monotones louaient la bête. Tous avaient 666 sur leurs fronts. Quand leurs bébés naissaient, ils étaient pris dans un autre bâtiments où les infirmiers dont l'esprit avaient été changés avaient pour tâche de les élever. Les infirmièrs avaient aussi 666 sur leurs fronts.
La bête grandi en Pouvoir jusqu'à ce que son empire s'étendit à travers la terre. Les bébés grandirent et à un certain temps, furent aussi placés en dessous de la machine qui détruit l'esprit. Ils adorèrent la bête et son image. Mais la machine n'avait aucun pouvoir sur les enfants de Dieu. J'entendis la voix du Seigneur Jésus dire :<< Ceux-là qui adoreront la bête et son image périront. Beaucoup seront trompés et tomberont, mais Je sauverai Mes enfants de la bête. Ces choses surviendront à la fin des temps. Ne prenez pas la marque de la bête. Repentez Vous maintenant avant qu'il ne soit trop tard. La bête s'appellera un homme de paix. Et il apportera la paix à beaucoup de nations dans un temps très chaotique. Il sera capable de fournir au monde beaucoup de marchandises bon marchés et il assurera que la paix ou le salaire de tout le monde soit suffisant. Il fera une alliance avec beaucoup des nations et de grands hommes du monde le suivront dans un faux sens de sécurité, Avant ces temps J'élèverai une armée de croyants qui se tiendront pour la Vérité et pour la droiture. L'armée Puissante dont Joël parlait, entendra Ma Voix du lever au coucher du Soleil.>> << Aux heures nocturnes aussi ils entendront Ma Voix et ils me répondront, ils travailleront pour Moi et ils courront comme les hommes Puissants de Guerre. Ils feront de grands travaux pour Moi, Car Je serai avec Eux.>> Toutes ces choses m'ont été révélées par le Seigneur Jésus-Christ dans une vision ouverte.
Celles-ci sont les Parole de sa bouche et ils concernent la fin des temps. Jésus et moi étions rentrés à la maison et Je méditais sur toutes les choses qu'IL m'avait montrées et m'avait dites. Sur ce, Je m'étais endormi en priant pour le salut de toute l'humanité.
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lesparaversdemillina · 10 days ago
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Blabla et pince sans rire
Qu’est-ce qui vous rend nostalgique ? En ce moment, j’ai enchaîné gastro/vomito et je suis actuellement sans voix et avec une angine carabinée. Je dirais que le confinement me manque 4 mois sans être malade sans croiser de gens sans masque et irresponsable. Je suis professionnelle de santé et personne ne pense à me protéger. Je vais vous révéler un secret, médecin ou pharmacien ou infirmière ou…
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suis-nous · 1 year ago
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zehub · 1 year ago
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Au Canada, tourisme et pollution menacent les bélugas
Le béluga ravit les touristes au Canada, mais c’est un animal décimé et maintes fois miraculé. Embarquement avec les chercheurs qui tentent de mieux connaître cette espèce menacée. Tadoussac (Canada), reportage « La brume descend, on va naviguer au pif. Je ne sais pas si on va réussir à en voir… » Le capitaine Michel Moisan, pince-sans-rire notoire, n’est pas sûr de son coup. La ville canadienne de Tadoussac est prise dans les nuages matinaux : il sera difficile de distinguer les bélugas. « Et t’as pas (...)
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